Christelle GRAMAGLIA
Je suis sociologue des sciences de l’environnement. Je travaille à l’INRAE et j’enseigne à l’université de Montpellier. Mes recherches portent sur les controverses liées aux frictions entre expériences sensibles et mesures des pollutions industrielles. Je m’intéresse également aux changements épistémologiques et politiques favorisés par les sciences participatives et citoyennes.
Avec qui dans le projet AirGeo as-tu déjà travaillé ? Par qui en as-tu entendu parler ?
J’ai rencontré Claire Dutrait à Port-de-Bouc à l’occasion de l’exposition La Sardine, la Torche et le Romarin à laquelle elle participait (2016), puis pris un verre avec Yann Philippe Tastevin à l’occasion du pot de thèse de Matthieu Duperrex (2018)… Je collabore avec Eva Schreck sur un autre projet à Salsigne qui m’a conduite à échanger à nouveau avec Claire Dutrait sur son travail d’auteure sur ce même terrain…
Y a-t-il un article ou un écrit que tu as écrit et que tu voudrais partager ?
Gramaglia, C. (2020). Saltkrake. Penser la «vitalité» des résidus miniers pour mieux appréhender leurs effets toxiques. Revue d’anthropologie des connaissances, 14(14-4). C’est un de mes derniers articles et le plus pertinent au regard du travail actuellement mené à Sebikotane (https://journals.openedition.org/rac/11726)
As-tu un arbre préféré… ?
Les micocouliers de Provence… l’arbre géant en face de la maison de mes grands-parents… dont l’ombre est si agréable et les fruits comestibles… une sorte de « baobab » ?
… et un métal préféré ?
L’acier inox pour sa robustesse, sa praticité et aussi parce qu’il est plus sain que le téflon ou l’aluminium en cuisine… Mon histoire personnelle est aussi tragiquement liée à l’acier dans lequel travaillait mon père…
© dessin de Frédéric Malenfer
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
La rédaction (17 mai 2022). Christelle GRAMAGLIA. AirGeo : l'air, la terre et des écorces. Consulté le 30 avril 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/awsg